Enquêtes Rapaces

Observatoire Rapaces

C’est la suite de l’enquête Rapaces, lancée entre 2000 et 2002 par la LPO.

Il s’agit de poursuivre cette enquête  sur une base annuelle, plus légère , avec un échantillonnage très restreint, strictement dans  les mêmes conditions et le même protocole (carrés identiques, indices de nidification identiques, efforts de prospection similaire) que l’enquête rapaces.

Brièvement et concrètement: on prospecte des carrés de 5 km de côté, au moins 1 par département, à choisir parmi plusieurs proposés, on y compte nombre de couples de rapaces diurnes nicheurs.

Pour en savoir plus : http://observatoire-rapaces.lpo.fr/

Le COGard participe depuis le début à cette enquête.

Les actions de recensement  reprendront au printemps prochain.

Le COGard informera ses adhérents des modalités de la reprise.

En 2022, le carré était centré sur Uzès.

En 2021, le carré était centré sur Lézan.

En 2020, les mesures sanitaires n’ont pas permis de faire ces recensements.

En 2019, le carré était centré sur Brignon.

 

Suivi Grand-duc

Le réseau Grand-duc, émanation de la LPO, propose une enquête nationale afin de mieux connaître la population de l’espèce sur le territoire.

Le COGard participe à cette enquête.

Comment cela fonctionne ?

Les écoutes et prospections se font de décembre à février chaque année.

Le Grand-duc a pour habitude (mais les contre-exemples nombreux existent) de chanter à côté de l’aire de reproduction, avant de partir en chasse.

C’est donc à la tombée de la nuit qu’il faut le repérer, le voir s’envoler et/ou l’entendre avant son envol à la recherche de ses proies .

Les adhérents du COGard seront informés par mail des modalités pratiques. Pour les novices qui souhaiteraient participer à cette enquête, des soirées d’initiations aux protocoles et à l’espèce peuvent être proposées.

Vous pouvez vous rapprocher des coordinatrices pour plus d’informations.

L’enquête dans le Gard

 

Il s’agit, dans un premier temps, de refaire une cartographie des sites de nidification du département.

L’idéal serait d’aller plus loin, en approfondissant l’étude de l’espèce : nombre de jeunes à l’envol, analyses de pelotes (et oui, il faut savoir ce que mange le Grand-duc)…

Réseaux Grand-Duc

Des rencontres régulières du réseau sont organisées depuis 2007. L’occasion pour les naturalistes de se rencontrer et de présenter l’état de la connaissance/mobilisation dans leurs territoires d’action, ainsi que de définir des protocoles communs pour l’étude de l’espèce. La dernière rencontre a eu lieu en 2021 dans les Alpilles, le COGard était présent.